Quelques photos de navigations, beaucoup de mer, de ciels, de nuages, peu de terre

 

On peut penser que la mer c'est toujours pareil.

Hum.....

 
Premier
départ
avec
Julie et Jean-Baptiste
jusque
Formentera

Deuxième
Départ
avec
Baptiste
jusqu'aux
Canaries
Première
Bonite

 
         
 
 
En fait le paysage change à chaque instant
 

Il fait
très
froid
Avec un
autre Jean
Baptiste
à partir
des
Canaries
l'air se
réchauffe
 
         
  Première
daurade
cauriphène
 

Après trois mois de navigation je suis arrivé en Guyanne,
ou j'ai vu la mer changer de couleur à proximité des estuaires de fleuves.
Une impression très désagréable
 
 
 
 

 
Beaucoup plus décontracté
après la transat
 
 

J'appréhendais d'entrer dans un fleuve, peur de s'y ensabler.
Et voilà, j'y suis allé quand même.
J'ai lu tellement d'histoire galères, d'échouages..........

 
 
 
 
 

 
Ces eaux plates sont assez agréables, c'est reposant en terme de mouvement
mais aussi pour les yeux et les nerfs
 
 
 
 
 

 
Il m'est même arrivé de mettre pied à terre,
Et de faire le touriste, un peu, devant la mairie de Saint Laurent du Maroni, le marché
 
 
   
 

 
Un mouillage tranquille, c'est l'occasion de faire les réparations.
Grand soleil au départ du mat, couvert 10mn plus tard, c'est La Guyanne,
On repars, vers Belem
 
 
 
   

     
 
 
 
 

 

Et voilà, bientot l'équateur,l'amazone et déjà les premiers grains.
Ces nuages effrayants qui vous tombe dessus en quelques minutes.
La première fois on ne sait pas à quoi s'attendre,comme un premier baiser.
Mais bon, il suffit de rentrer les voiles et d'attendre le coup de vent qui arrive avec le gros nuage noir.
ça doit pouvoir être assez violent. J'ai pas encore eu plus de 30 noeuds.
C'est bien pour se doucher.

 
 
 
 
 
     
   
   

 
Et un jour , voilà Belem au loin,
Puis une pompe à essence sur le fleuve,
Et des bateaux dont on s'attends à voir les roues à aube comme sur le Mississipi.
 
 
     

 
En face de la pompe, le drive"in" pour bateau,bar sur le fleuve
Tout ça c'est la Marina B & B,
Deux mouillages sur corp mort, dont un pour nous.
 
 
 
   

 
Belem, une vieille ville, ou les investisseurs immobiliers semblent attendre
patiemment la ruine des vieux immeubles pour construire des immeubles toujours plus hauts.
 
 
       

 

Fini les formalités d'entrée au Brésil, je repars seul.
En sortant de Belem, puis du Para, Je vois tout à coup la couleur de l'eau changer,
le long d'une ligne très nette.
Je vais pouvoir pêcher. En fait je vais surtout perdre des appats.
Les poissons ont l'air très voraces ici.

 
 
 
     

     
         


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